Après la fête, on n’utilisera pas les feuilles de Skakh de la Souccah pour un usage irrespectueux, ainsi on ne les piétinera pas et on ne les jettera pas à la poubelle.
On les mettra dans un endroit discret, ou sur le côté de la rue. Même si les employés du nettoyage risquent de les prendre et de les jeter, ce n’est pas interdit.
Références : Rabbi Ovadia Yossef z.t.l. dans Hazon Ovadia Halakhot Soukot page 449
Le Étrog :
a) Certains ont l’habitude de faire de la confiture après la fête avec le Étrog et d’en manger pour Tou Bichvat, le Nouvel An des arbres.
Références : Talmoud Babli Guémara Souccah pages 42b et 44a, Rabbi Yossef Karo z.t.l. dans le Beth Yossef Siman 664, Rabbi Moché Ben Maimone dans le Rambam Halakhot Bérakhot chapitre 11 Halakha 16, Rabbi Its’hak Even Guiat dans Méa Chéârim Halakhot Loulav page 113, Rabbi Ovadia Yossef z.t.l. dans H’azon Ovadia volume sur Souccot page 430 et dans Hazon Ovadia Halakhot Soukot page 449, Rabbi Éphraïm Zalman Margaliot z.t.l dan son Sefer Maté Éphraïm, Rabbi Mordékhaï Zéèv Ségal z.t.l dans Elef Hamaguen Siman 660? Rabbi Yaakov Sofer z.t.l. dans Kaf Hahaïm page 450,
b) Il aide aussi les femmes stériles à avoir des enfants,
c) Il sert aussi à protéger les femmes enceintes qui devront en mordre le Pitma (la pointe du Etrog, pas la queue, mais certains Etrog sont sans Pitma), donneront la Tsédaka et prieront pour avoir une bonne grossesse et mettre au monde leur enfant en bonne santé.
Elles ne mordront le Étrog qu’après Sim’hat Torah, car avant cela, il est interdit de le consommer.
Références: Rabbi Ovadia Yossef z.t.l. dans Hazon Ovadia Halakhot Soukot page 449
d) Le Étrog est également un remède pour celui qui a des douleurs au cœur. Celui-ci prendra un Étrog sur lequel on a dit la bénédiction pendant Soukot, le fera cuire dans l’eau avec un peu de cumin. Il récupèrera l’eau de cuisson qu’il filtrera et en boira 7 gorgées en rapport avec les sept jours de la fête. Il aura alors un cœur sain et fort pour servir Hachem.
Références: Rabbi Chabtaï Livchits z.t.l dans Ségoulot Israël, Lévouch Yossef
En général, on garde le Loulav jusqu’à la veille de Pessah, il servira de combustible pour brûler le Hamèts,
Références : Talmoud Babli Guémara Souccah pages 42b et 44a, Rabbi Yossef Karo z.t.l. dans le Beth Yossef Siman 664, Rabbi Moché Ben Maimone dans le Rambam Halakhot Bérakhot chapitre 11 Halakha 16, Rabbi Its’hak Even Guiat dans Méa Chéârim Halakhot Loulav page 113, Rabbi Ovadia Yossef z.t.l. dans H’azon Ovadia volume sur Souccot page 430, Rabbi Éphraïm Zalman Margaliot z.t.l dan son Sefer Maté Éphraïm, Rabbi Mordékhaï Zéèv Ségal z.t.l dans Elef Hamaguen Siman 660.
a) Il est bien de les garder à la maison, car elles ont la vertu d’enrichir celui qui les possède et de le protéger de grandes peurs.
b) Celui qui a peur la nuit ou qui fait de mauvais rêves, en mettra sous son oreiller.
Il n’est pas nécessaire de mettre toutes les Aravot. Une seule enveloppée dans un sac plastique hermétique suffit.
Références: Rabbi Rahamim Nissim Yitshak Palaggi z.t.l. dans son séfer Yafé Lélev, Rabbi Simha Rabinovitch dans Piské Téchouvot page 451
c) Une Ségoula pour avoir des enfants est de faire cuire les ‘Aravot dans de l’eau que l’on boira.
Références: Rabbi Simha Rabinovitch dans Piské Téchouvot page 451
Références: Lévouch Yossef