Comprendre les prières de Ticha Béav et ce que l’on-récite ce jour là (audio)
Les sujets autorisés à étudier (audio)
Les sujets autorisés à étudier partie 2 (audio)
Le port des Tephilin à Tichâ Béav (audio)
Les Téphiline, les textes de prières ou d’étude le jour de Tichâ Béav
Sujets dans cette Halakha :
1) Les supplications :
2) Na’hem et Anénou dans la Amida :
3) La Bénédiction de Chéâssa li Col Tsorki
4) Téfilin à Tichâ Béav :
5) Réciter ou pas Alénou Léchabéah :
6) Lire Téhilim et le Perek Chira
7) Les sujets autorisés à étudier
Les supplications :
Le 9 Av est qualifié par le verset de « Moèd », « jour de fete » (Ekha 1, vers .15). Pour cette raison, on ne récitera pas le Vidouï , Tah’anoun, les supplications, la veille du 9 Av pour l’office de Min’ha et le jour du 9 Av, car Hachem le transformera dans un futur proche en événement de réjouissance. Amen
Références : Rabbi Yossef Karo z.t.l. dans le Choul’han Aroukh siman 559 Saïf 4.
Les Yéménites récitent les Tah’anounim (supplications) le jour de Tichâ Béav.
Références : Rabbi Yitshak Ratsavi Chlita dans le Choul’han Âroukh Hamékoutsar lois Témanim volume 3 page 131.
Concernant la Téfila de Tichâ Béav, chacun suivra sa coutume et la coutume du lieu où il priera.
Na’hem et Anénou dans la Amida :
Nous avons prie l’habitude, que dans la Amida de Arvit, Cha’harit et Min’ha, on intercale avant la fin de la bénédiction de Choméâ Téfila, la prière des jours de jeûne Anénou, en plus de la prière de Anénou, on intercale dans la bénédiction de Boné Yérouchalaïm, une prière spéciale, Na’hem pour la consolation des endeuillés de Tsion et pour la reconstruction de Jérusalem et de son Temple et ceci pour les 3 prières journalières.
Références : Rav ‘Amram Gaon z.t.l., Rabbi Yossef Karo z.t.l. dans le Choul’han Aroukh Siman 557, Rabbi Yaâkov Haïm Sofer z.t.l dans son Kaf Hahaïm Siman 557 Saïf Katan 7.
Les décisionnaires du Magreb, rapportent qu’il faut réciter : « Na’hem » seulement dans la ‘Amida de Min’ha de Tichâ Béav.
Références : Rav Saâdia Gaon z.t.l., Rabbi David Ovadia Chlita dans Nahagou Haâm, Rabbi Chlomo Tolédano Chlita dans Divré Chalom Véémet.
On récitera cette bénédiction, à la condition qu’il y ait au moins six fidèles qui jeûnent, l’officiant lui-même fait partie des six.
Si à la fin de la Amida, nous nous rendons compte que nous l’avons oublié, nous ne recommencerons pas la Amida.
Références : Rabbi Yossef Karo z.t.l. dans le Choul’han Aroukh section Orah Haim Siman 686 Saïfs 1 et 2, et Siman 566 saifs 2 et 5, Rabbi Binyamin Hotta Chlita dans le Séfer Ki Ba Moëd, page 13, Rabbi Israel Méir Hacohen dans Michna Béroura siman 566 saif Katan 14, Rabbi David Yossef Chlita dans Torat Hamo’adim siman 3 saif 12, Rabbi Simha Rabinovitz dans Piské Téchouvot siman 566 saif 4.
Si le jour du jeûne, une personne a récité par inadvertance la bénédiction sur un aliment ou sur une boisson, elle en goûtera un tout petit peu afin que sa bénédiction ne soit pas récitée en vain, et elle poursuivra son jeûne et récitera Anénou dans la Amida.
Références : Rabbi Y. Naymrak dans Yerihon Kol Torah mois de Sivan année 5763, Rabbi Ôvadia Yossef z.t.l dans le Responsa Yabiâ Omer volume 2 section Yoré Déâ Siman 5 Saïf katan 6 et volume 10 section Orah Haïm Siman 41 page 75 et dans Yéhavé Daât volume 4 Siman 41, Rabbi Yitshak Yossef Chlita dans Yalkout Yossef Halakhot Moâdim page 544 et dans Halakhot Téphila volume 1 siman 89.
Si le jour du jeûne, une personne ne jeûne pas pour des raisons de santé ou autre, elle ne récitera pas la prière de Anénou dans la Amida, car cette personne pourrait paraître menteuse car elle se contredit.
Références : Rabbi Yossef Karo z.t.l dans le Choul’han Aroukh Siman 562 Saïf 1 , Rabbi Israël Méïr Hacohen z.t.l dans Michna Béroura Siman 562 Saïf katan 6, Rabbi David Yossef Chlita dans Torat HaMo’adim volume 1 Siman 16, Rabbi Yitshak Yeranen dans son Responsa Yitshak Yeranen volume 1 Siman 5, Rabbi Ôvadia Yossef z.t.l dans Yabiâ Omer volume 1 section Yoré Déâ Siman 14 Saïf katan 8.
Cependant, un malade qui doit manger le jour de Tichâ Béav devra mentionner le passage de Nahem dans la Hamida.
Référence Rabbi ben Tsiyon Aba Chaoul z.t.l dans Or Létsion page 262 saif 7, Rabbi Ôvadia Yossef z.t.l dans Yéhavé Daat volume 1 Siman 44 Saïf et au 3eme Volume siman 40.
Pour voir la traduction de Anénou cliquez sur le lien
https://www.lejudaisme.org/la-priere-de-anenou-dans-la-amida-et-sa-traduction/
La Bénédiction de Chéâssa li Col Tsorki lors de la prière du matin
1) La plupart des décisionnaires on l’usage de réciter pendant la bénédiction du matin la Bérakha de Chéâssa li Kol Tsorki « Il a fait tous mes besoins », aussi bien pour Yom Kippour que pour Tisha Béav, qui a été instauré pour le port des chaussures, cette bénédiction peut être récité ce jour, par a port aux raisons suivantes :
A) nous avons l’habitude de chausser des chaussures toute l’année
B) Il y a un principe dans la Halakha qu’il n’y a pas de Bénédiction en vain sur un Minhag (coutume)
C) de plus cette bénédiction est instaurée aussi pour d’autres besoins et jouissances
D) Aussi nous mettons des chaussures en cuir juste après le jeûne
E) C’est une Bénédiction de louange sur tous les bienfaits que Hachem nous octroie.
F) les chaussures en plastique de nos générations sont très agréables et non aucun rapport avec les chaussures de l’époque
G) Même si les Bné Israël ne mettent pas de chaussure en cuire, mais il y a des malades qui sont autorisé de mettrent des chaussures en cuire pour des problèmes de gambes ou de pieds et toutes les nations mettent des chaussures en cuir.
Rabbi Ovadia Yossef z.t.l avait l’habitude de réciter cette Bénédiction le jour de Tichâ Béav et Yom Kippour
Référence : Rabbénou Acher z.t.l de la Guémara Bérakhot page 60b, Rabbénou Nissim z.t.l de la Guémara Bérakhot page 60b, Rabbi Moché Ben Nahman z.t.l dans la Guémara Péssahim page 8, Rabbi Yossef Karo z.t.l dans le Choul’han Âroukh siman 613, Rabbi Israël Méïr Hacohen z.t.l dans Michna Béroura siman 554 Saïf Katan 3 et Chaâré Hatsiyoun Siman 554 Saïf 39, Rabbi Eliyahou z.t.l le Gaon de Vilna dans Maâssé Rav Saïf 9, Rabbi Ovadia Yossef z.t.l dans Hazon Ovadia Halakhot des quatres jeûnes page 362 et dans Halikhot Ôlam volume 1 siman 53, Rabbi Yitshak Yossef Chlita dans Yalkout Yossef Halakhot Psouké Dézimra impression 5764 page 16 et Halakhot Bénédiction du matin Saïf 12 et dans le siman 559 la prière de Tichâ Béav, Rabbi Eliézer Melamed Chlita dans Péniné Halakha Séfer Zmanim saif 18 , Rabbi Oren Tsadok Chlita Roch Oraa Nézer HaHoraa Massoret Halakhot Tichâ Béav rapporte pour les Temanim deux coutumes les « Chaami » récitent la bénédiction Chéâssa li Kol Tsorki et les « Baladi » ne la récite pas.
2) Certains on l’usage de ne pas réciter la bénédiction Chéâssa li Kol Tsorki « Il a fait tous mes besoins », à Yom Kippour et Tisha Béav, qui a été instauré pour le port des chaussures.
Référence Guémara Bérakhot page 60b, Rabbi Moché Ben Maïmon z.t.l de la Guémara Bérakhot page 60b, Rabbi Yossef Haïm z.t.l dans le ben Ich haï Parachat Vayéchev saif 9 et Parachat Vayélekh Saïf 17 et Parachat Dévarim Saïf 23 et dans Rav Paâlim siman 2 Saïf 8, Torat Amoâdim siman 10 Saïf 14, Rabbi Yits’hak Louria le Arizal z.t.l dans Chaâr Hakavanot Ot 4, Rabbi Yaâkov Sofèr z.t.l dans le Kaf HaHaïm siman 47 Saïf Katan 17, Rabbi Mordékhay Eliyahou z.t.l. , Ainsi est la coutume Habad dans Piské Hassidour Bérakhot Achahar sidour page 8.Rabbi Mordékhay Eliyahou z.t.l.
Le port des Tephilin à Tichâ Béav
Concernant le port des Tefilin à Tichâ Béav, il y a une discussion entre nos Sages :
A) Tout comme pour un deuil pendant la période des Chiva (les 7 jours de deuil) nous mettrons les Tefilin, il en sera de même pour Tichâ Béav. Cette coutume est celle de Rabbi Ôvadia Yossef z.t.l elle trouve ses racines chez les Mékoubalim qui suivent le Arizal.Certains ne disent pas la bénédiction sur le Talit et Tefilin le matin de Tichâ Béav.
Références : Rabbénou Achèr ben Yéhyiel z.t.l. dans le Roch sur Taânit Perek 4 Siman 37, Rabbi Moché Bar Maïmone z.t.l dans le le Rambam Perek 5 Halakhot Taânitiot halakha 11 au nom du Maguid zt »l, Rabbi Itshak Abouhab zt »l, Rabbi Moché Ben Nahman z.t.l. dans le Torat Haadam page 86 Amoud 3, Rabbi Yom Tov Achvilli z.t.l dans le Ritva, Rabbénou Nissim Gaon z.t.l. dans le Ran, Rav Hay Gaon zt »l Taânit , Rabbi Yossef Karo z.t.l dans le Choul’han ‘Aroukh Ora’h ‘Hayim Siman 38 saif 6, Rabbi Yitshak Louria Achkanazi Arizal z.t.l, , Minhag Bet El, Rabbi Ôvadia Yossef z.t.l dans Yabiyâ Omer et Yéh’avé Daât volume 2 Siman 67et dans Yéh’avé Daât volume 6 Siman 2, Rabbi Yitshak Yossef Chlita dans Yalkout Yossef Moâdim Tichâ Béav saïf 23, Rabbi Yaâkov Haïm Sofer z.t.l dans Kaf Ahayim Ora’h ‘Hayim Siman 38 saif katan 4.
B) D’autres décisionnaires ont le Minhag de ne pas porter les Tefilin le matin de Tichâ Béav, car ils sont appelés «Pe-er», la gloire, et à Tichâ Béav le sort des Juifs est « Efer» les cendres à la place de la gloire, et de les porter à Min’ha et non à Cha’harit, parce que l’après-midi de Tichâ Béav, le deuil est réduit et aussi c’est le moment où Machia’h Ben David est né.
Références : Rabbi Méïr de Rothenburg zt »l, dans le Maharam de Rothenburg Rabbi Yossef Karo z.t.l dans le Choul’han Aroukh Ora’h ‘Hayim Siman 555 saïf 1, Rabbi Yaâkov Haïm Sofer z.t.l dans Kaf A’hayim Siman 555 saïf 4, Rabbi Yossef Haïm z.t.l. dans le Ben Ich Hay, Rabbi Chalom Méssas zt »l dans Chémech Oumaguen ‘Hélek 2 Chapitres 66 et 67, Rabbi Rafael Baroukh Tolédano zt »l, dans le Kitsour Choul’han Âroukh saïf 392, Rabbi Mordékhay Eliyahou zt »l dans le Kitsour Choul’han Aroukh Siman 124 Saïf 3.
C) D’autres ont la coutume de les mettent à la maison avant la prière du matin en récitant le Chémâ, puis les enlève afin de se rendre à la synagogue pour prier avec la communauté. Telle était la coutume dans certaines communautés du Maroc et de Tunisie
Références : Rabbi Yaâkov Haïm Sofer z.t.l dans Kaf Hahaïm Siman 555 Saïf Katan 4 et rapporte que telle était la coutume du Ramban et du Rachba, Rabbi Hayim Palaggi zt »l dans Moëd Lékhol Hay Siman 10 Ot 60, Rabbi Moché Galanti dans Chout Halakhot Ketanot Hélek 2 Siman 139.
C) Certains font toute la prière de Cha’harit jusqu’à la fin de la Amida à la maison et vont ensuite à la synagogue, après avoir enlevé les Tephilin afin de réciter les Kinot et la Méguila de Ekha.
Chacun ferra comme sa coutume mais surtout celle de la communauté afin de ne pas provoquer des querelles et des clans dans l’endroit d’Hachem.
Réciter ou non Alénou Léchabéah :
Certains décisionnaires disent de réciter Alénou Lechabeah même à Tichâ Béav, cette coutume est celle de Rabbi Ôvadia Yossef z.t.l
Références : Sidour Hazon Ovadia de Tichâ Béav du Rabbi Ovadia Yossef z.t.l, Rabbi Tsidkiyahou Harofé z.t.l dans Chiboulé Haleket séder Taanit siman 269, Rabbi Mordekhaï Eliyahou z.t.l dans Halikhot Téphila de Tichâ Béav année 5763, Sidour Hatémani de la Téphila de Tichâ Béav, Rabbi Tsvi Yossef Parienti Chlita dans règles pratiques de Tichâ Béav selon le Minhag Séfarade, Rabbi Nissim Perets z.t.l dans Pardes Nissim et Minhagué Bet el Halakhot Tephila de Tichâ Béav.
D’autres décisionnaires particulièrement ceux du Magreb, ne le récitent pas.
Références : Maḥzôr mik-kol haš-šānā ke-minhag qehillôt qodeš aškenaz, Rabbi Gabriel Ziner Chlita dans Natâ Gabriel dans Milouim Halakhot Tichâ Béav page 63 où il rapporte les 2 coutumes.
Il est important de souligner, que, nous avons une règle en or, au sein de la Torah de toujours chercher le Chalom et l’union c’est pour cela que l’on suivra la coutume de la synagogue dans laquelle nous prions et de ne pas créer des groupes (Lo Titgodédou) ce qui est une faute grave.
Références : Rabbi Yossef Karo z.t.l dans le Tour Beth Yossef et Rabbi Moché Iserlass z.t.l. dans le Choul’han Aroukh section Ora’h Haïm Siman 558 Saïf 1 et 552 Saïf 9, Rabbi Ovadia Yossef z.t.l. dans Yabiâ Omer Siman 563 Yabiyâ Omer volume 3 Siman 31 Ot 5 et dans Yéhavé Daât volume 3 Siman 39 et volume 4 Siman 36 et dans Yéhavé Daât volume 1 Siman 41 et dans Halikhot Ôlam volume 2 page 143, Rabbi Yitshak Yossef Chlita dans Yalkout Yossef Halakhot Moâdim Siman 551 pages 527 à 587 et 563 et dans Moâdim page 558, Rabbi Chlomo Ganzfried z.t.l dans le Kitsour Choul’han Âroukh Siman 12 Ot 4, Rabbi Binyamin Hotta Chlita dans Ki Ba Moëd page 37 Saïf Katan 92, Rabbi Raphaël Aaron Monsonégo z.t.l de fez dans son Séfer Dvar Emet Siman 3, Rabbi Moché Tolédano Chlita , Rabbi Eliézer Mélamed Chlita dans Péniné Hahalakha Halakhot des 3 semaines chapitre 14, Kol Eliyahou section Orah Haim Siman 45, Rabbi Yaâkov Haim Sofer z.t.l dans Kaf HaHaim Siman 558 Saïf Katan 10 et aussi Siman 551 Saïfs Katans 143 et 144, Rabbi Israël Abouhatséra z.t.l Baba Salé, Rabbi David Ovadia Chlita dans Nahagou Haâm section Orah Haim Halakhot des jeunes pages 111, Kryat H’ana Ot 6 et 7, Rabbi Eliyahou Bitton Chlita dans son Séfer Nétivot HaMaârav section Ben Hamétsarim Ot 14 et 15 page 211, Rabbi Raphael Baroukh Tolédano z.t.l. dans son Kitsour Choul’han Aroukh page 247. Rabbi Haim Yossef Azoulay z.t.l. dans son Responsa Moré Béétsba Ot 233.
Lire Téhilim ou Pérek Chira:
a) Celui qui a l’habitude de lire certains psaumes du Téhilim, ou le Pérek Chira chaque jour ou celui qui ne sait pas étudier, sera autorisé de les lire après H’atsot de Tichâ Béav de les lire et non de les étudiés,
Références : Rabbi Yossef Chlomo Auerbach Z.T.L. dans Achré Aïch volume 3 page 484, Rabbi Abraham Gombiner z.t.l dans le Maguen Avraham Siman 554 Ot 6, Rabbi Chlomo Zelmann Oyrbakh z.t.l, dans Halikhot Chlomo page 436 le permet à celui qui les lit tous les jours, Rabbi Chalom Perlov z.t.l dans Michméret Chalom section 400 Ot 2, Rabbi Ovadia Yossef z.t.l dans H’azon Ovadia lois des Jeûnes page 311, Rabbi Israël Issérlane Achkanazi z.t.l. dans son Responsa Léket Yocher page 112, Rabbi Yéchayahou Karlits z.t.l. le Hzon Ich
b) Pour les femmes on permet avec plus de facilité.
Références : Responsa Lev Avraham siman 98, Rabbi Kanievsky dans Orhot Rabbénou volume 2 page 142 au nom du H’azon Ich, Rabbi Ovadia Yossef z.t.l. dans H’azon Ovadia, lois des Jeûnes page 315.
c) Il est permis de lire le Téhilim pour une personne malade.
Références : Rabbi Chlomo Zelmann Oyrbakh z.t.l, dans Halikhot Chlomo page 436, Rabbi Malkiel Tsvi HaLévy Tenenbaum z.t.l. dans son Responsa Divré Malkiel volume 6 siman 9, Rabbi Ovadia Yossef z.t.l. dans H’azon Ovadia, Lois des Jeûnes page 311.
d) Il est permis de lire le Téhilim pour l’anniversaire de mort d’un défunt.
Références : Rabbi Chlomo Zelmann Oyrbakh z.t.l, dans Halikhot Chlomo page 436, Rabbi Binyamin Hotta Chlita dans Ki Ba Moëd page 105.
Les sujets autorisés à l’étude
a) Il est permis d’étudier le troisième chapitre du traité de Mo’èd Katan, traitant essentiellement des sujets concernant le deuil,
b) Le traité de Guitin(De la page 55 à la fin de seconde page, et la page 58 en fin de première page) traitant essentiellement de la destruction du Beth Hamikdach.
c) Les recueils de lois définissant les règles de deuil, les commentaires de nos Sages sur Yiov (Job)
d) La Méguila de Eikha
e) Les livres de Moussar d’éthique éveillant au repentir.
Références : Ainsi statue le Meïri, Mo’èd Katan. Page 21,1, Rabbi Ovadia Yossef z.t.l. dans Yabia Omer section Yoré Déa volume 2 siman 26 Saif Katan 10,
f) Si une personne lit ou pense à un texte de Torah, sans rien comprendre, par exemple un texte du Zohar, il sera autorisé à le faire, car le Zohar purifie l’âme.
Références : Rabbi Ovadia Yossef z.t.l. dans Yabia Omer volume 4 siman 8 Saif Katan 17,
Aphorismes du Baal Chem Tov
Il n’est pas de place pour Hachem en quelqu’un qui est plein de lui-même