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Drasha sur la parasha Devarim

admin by admin
1 janvier 2019
in 5) Devarim, Parasha
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DÉVARIM

Le 5e livre de la Torah
Nous entrons dans le 5e livre de la Torah, Devarim (le Deutéronome). Ce 5e livre est bref, le second en taille :

LETTRES MOTS VERSETS SECTIONS
Torah 304 805 79 847 5 845 187
Beréchite 78064 20 512 1 534 50
Chemote 63 529 16 723 1 209 40
Vayiqra 44 790 11 950 859 27
Bamidbar 63 530 16 368 1 288 36
Devarim 54 892 14 294 955 34

Le sens de ce 5e livre

Ne rien ajouter et ne rien supprimer à la Torah

Ce livre termine la révélation écrite. Celui qui respecte la parole de Dieu n’en supprime rien et n’y ajoute rien. Il n’en fait pas un ancien testament qui trouverait son sens accompli dans un nouveau. Qu’il y ait d’autres religions, la Bible le reconnait, et elle dit simplement : « ils ont leurs dieux » ; mais la parole de Dieu elle-même ne peut pas être annulée par l’homme dans un nouveau projet à l’intérieur de cette parole, où l’homme se définirait comme nouveau prophète ou a fortiori comme Dieu.
Le livre Devarim commence en disant que Moché, lui, « s’est conformé en tout à ce que lui a commandé Hachém, kékhol achér tsiva Hachém » (1, 3).
Ce n’est pas nous, c’est le chapitre 13 de ce 5e livre qui met en garde explicitement à l’avance contre ces tentatives qui seront proposées aux hommes sensibles aux dimensions religieuses de vouloir modifier la parole de Dieu :

Les mitsvot de notre Paracha

1) Interdiction d’investir un juge ne possédant pas à fond la connaissance de la loi écrite et orale.

2) Interdiction au juge de se laisser intimider par crainte d’un homme.

Le 1er  Chévat, , autrement dit 36 jours avant la mort de Moché, notre Maître  convoqua tout le peuple Israël qu’il a conduit avec patience et abnégation, c’est donc là pour Moché la dernière occasion de transmettre ses ultimes recommandations pour reprendre l’enseignement de la Tora

Ce 5ième   livre de la Tora, Dévarim, le Deutéronome dont nous lisons la première Paracha du même nom, constitue le dernier discours de Moché, . » appelé aussi Michné Tora, 2ième Tora, en raison de la reprise des prescriptions .

Moché essaya une dernière fois de faire conscientiser la  grande responsabilité du peuple juif rappelant  donc toutes les étapes du désert,  incidents, rebellions, bref tous les péchés des enfants d’Israël.

Yaacov et Moché

  • Pourquoi avoir attendu la veille de sa mort pour adresser ces paroles de reproche à Israël ?

Nos Sages enseignent, à la suite de l’attitude de Yaacov et de Moché, que l’homme ne doit faire des reproches à son prochain que peu avant de mourir et ceci pour 3  raisons :

1 – pour ne pas, après l’avoir blâmé, devoir le blâmer encore ;

2 – de peur que son prochain, le revoyant ensuite, n’ait à rougir devant lui, car il lui rappelle ses fautes passées ;

3 – afin que la personne réprimandée ne nourrisse point de mauvais sentiments à l’égard de celui qui lui a infligé le blâme ou fait le reproche ;

Moché dresse donc le bilan de ces quarante années dans le désert et veut, par son discours, faire prendre conscience aux enfants d’Israël de leur mauvaise conduite, afin qu’ils en tirent la leçon et changent leur attitude vis-à-vis de Hachem

LA REMONTRANCE

Le propre de la remontrance est de chercher plus à corriger la conduite des personnes, plutôt que de vouloir se réjouir de leur échec ou de leurs défauts .

Rabbi Chimône Bar Yohaï rapporte cette métaphore, nous sommes tous solidaires, embarqués sur un bateau il serait impensable d’assister sans réagir à la perforation de la coque du bâteau par l’un des voyageurs qui, sous prétexte d’avoir payé sa place, invoquerait la liberté d’en disposer au point de la trouer. C’est sûr qu’en le laissant faire tout le bâteau serait en danger. Il en est ainsi des Bné Yisraël qui, par les liens de solidarité agissante, deviennent tous responsables les uns des autres.

UNE VÉRITABLE SCIENCE

La réprimande est donc une véritable science qui nécessite un long apprentissage. Elle pose tout le problème de l’influence bénéfique qu’un être peut avoir sur son prochain.

Lorsque le Rav Kouk voulait réprimander sa génération parce qu’elle profanait le Chabbat, il utilisait en général une argumentation sociale et non religieuse, ce qui surprenait de nombreux Juifs « religieux » de son époque. En fait, cette démarche était logique: aurait-il été utile de rappeler à un Juif laïc que celui qui profane le Chabbat est passible de mort? N’avait-il pas raison de lui expliquer que le respect du Chabbat était une nécessité sociale et morale devant permettre la poursuite de la reconstruction du peuple Juif ?

LE ARI ZAL

On raconte l’histoire suivante: un Juif qui avait fauté toute sa vie durant contre Hachem, il voulut un jour se faire pardonner. Il s’en alla donc demander au Sage de l’époque, le Ari zal, ,quelle serait la punition qu’il méritait compte tenu de ses péchés. Le Sage lui répondit sans hésiter qu’il était passible de la peine de mort par le feu; et que, d’après la Halakha, (la Loi juive), on devrait lui verser dans la gorge un métal incandescent destiné à lui brûler les entrailles. Pris de panique, ce Juif décida, sur les conseils du Sage, de bien réfléchir avant de prendre une décision aussi cruciale pour se faire « racheter » ses fautes. Deux semaines plus tard, il revint, fermement décidé à accepter cette sentence tragique en vue d’obtenir effectivement le pardon de ses fautes. Le Ari zal donna alors l’ordre ;de l’attacher,  lui bander les yeux et de lui faire ouvrir la bouche .Il s’approcha du malheureux et lui versa dans la bouche… une coupe de miel !

Cette histoire signifie bien que dans la réprimande, tout doit être fait d’amour, même si parfois, au sein de cet amour, il est peut-être nécessaire d’ébranler l’âme humaine. Ainsi la réprimande doit-elle commencer par l’amour et finir par l’amour?

3 FAUTES GRAVES

La destruction du premier Temple qui s’est produite sous le règne de Sédécias, le 9 Av de l’an 3388, a été la conséquence de trois fautes graves, commises par les juifs de l’époque, a savoir: l’idolâtrie, la débauche et le meurtre.

La destruction du second Temple a eu lieu a l’époque de Rabbi Yohanan ben Zakaï en l’an 3828 (an 68 avant  l’ère usuelle).
Cette génération était pourtant une génération qui étudiait la Thora et faisait les « Mitsvot » (commandements) en apparence tout allait bien, mais le mal était plus pernicieux: l’harmonie ne régnait pas parmi les différentes fractions « religieuses ».
Et ce fut en raison de la « haine gratuite » qu’ils éprouvaient les uns pour les autres que fut détruit le second Temple.

LA PREMIÈRE CATASTROPHE

C’est aussi à cause des péchés d’Israël que la première catastrophe nationale est arrivée. Le prophète Isaïe, dont nous lisons un extrait dans la Haphtara se lamente de cette conduite d’Israël qui ne manque pas une occasion pour s’insurger contre Hachem et pour oublier les bienfaits de D-ieu.  » Un bœuf connaît son possesseur, un âne la crèche de son maître. Israël ne connaît rien, mon peuple n’a pas de discernement « .

Ce manque de discernement sera à l’origine de nombreuses catastrophes. La première sera annoncée par le prophète Jérémie.

UN BREF HISTORIQUE

En 589 avant l’ère ordinaire, le roi de Judée Sedecias adhère à la coalition inspirée par le Pharaon Hophra et refuse de payer le tribut à Nabuchodonosor roi de Chaldée. Cela équivalait à une déclaration de guerre. Une année plus tard les troupes chaldéennes commencèrent le siège de Jérusalem.fut, fut la panique suivie d’un mouvement de retour à Hachem, accompagné de jeûnes et de prières. Mais dès l’annonce de l’avance égyptienne pour débloquer Jérusalem, il y eu un revirement dans la mentalité des Judéens qui revinrent à leurs pratiques mauvaises.

En 586 le 9 AV, Jérusalem est envahie par les Chaldéen, le Temple détruit et livré aux flammes et au pillage. Ces journées fatales du mois Av 586 signifiaient la déchéance de la dynastie de David, au pouvoir depuis quatre siècles et la fin du Royaume de Judée. Les hommes de Judée furent déportés en Babylonie et il ne resta en Palestine que les couches les plus basses de la société judéenne.

LA PROFONDEUR DE  DÉVARIM

Rabbi Citrin écrit que le  » dévarim,( paroles), sont notre part dans la puissance divine de créer ou dévaster.  » Nous avons besoin de regarder l’histoire de la création pour comprendre la puissance que notre tradition donne aux mots. Le monde n’a pas été créé par un acte physique mais simplement par l’expression verbale. De même grâce à notre parole nous créons des mondes, donnant la vie par des  idées et des perceptions. Par nos mots nous pouvons également détruire des mondes, .Une fois que les mots (dévarim) sont sortie de notre  bouches, leur puissance de créer ou de détruire a été lâchée et ne peut jamais être repris.

La Parachat  Dévarim est toujours lu sur le Chabbat avant Tichah Bé’av, et nous rappelle la puissance des mots. Tichah Bé’av commémore, entre d’autres, la destruction du deuxième temple. Le Talmud (Gittin 5a) nous instruit que ce temple a été détruit en raison de la haine gratuite.

Si la destruction du temple devrait être déplorée, nous pouvons certainement comprendre la puissance destructive d’une telle haine. Pendant que les juifs autour du monde se réunissent pratiquants ou non au mur occidental, peuvent par  leurs dialectes de la puissance de nos bouches  transformer les mots du livre de Lamentations en un futur bien plus joyeux comme par exemple le Machiah.

HAFTARA

Josué I,1 – I,27

Pour ce dernier chabbat avant le 9 Ab, nous lisons le premier chapitre d’Isaïe. Il a vécu bien avant la destruction du Temple. Son esprit prophétique lui a cependant permis de décrire l’existence et la destinée d’Israël, sa position au milieu de l’humanité, la grandeur de ses devoirs et la profondeur de sa chute. En rappelant annuellement cet événement tragique de notre histoire, le Juif est invité a réfléchir aux causes de la destruction du Temple ; elles se ramènent toutes à la désobéissance aux lois de la Torah. Cette révolte permanente d’Israël contre Hachem ne consiste pas dans l’absence de sacrifices, de prières ou dans la non célébration des solennités religieuses, comme le dit Isaïe (v. 1 1-15). Il s’agit bien plus du rôle moral et spirituel que nous inspire la Torah, et que nous refusons trop souvent d’assumer.

Qu’Hachem nous aide à maîtriser nos passion à nous surmonter et avoir un peut plus d’amour gratuit envers autrui. 

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